DRH & IA : Faut-il être data scientist pour piloter la transformation RH ? »

L’intelligence artificielle s’impose progressivement dans les entreprises, et la fonction RH ne fait pas exception. Entre l’analyse prédictive des talents, l’automatisation du recrutement et l’optimisation des parcours collaborateurs, l’IA bouleverse les codes traditionnels de la gestion des ressources humaines. Mais face à cette mutation technologique, une question persiste : les DRH doivent-ils devenir des data scientists pour mener cette transformation ?

𝑹𝑯 𝒆𝒕 𝑰𝑨 – Quelle place pour les RH dans la révolution de l’IA ?

L’intelligence artificielle (IA) s’impose aujourd’hui comme l’un des moteurs les plus puissants de transformation des entreprises. Capable d’automatiser des tâches complexes, d’améliorer les processus décisionnels et de repenser la relation au travail, l’IA redéfinit les contours de nombreux métiers. Au cœur de cette mutation, la fonction Ressources Humaines se trouve à un carrefour stratégique.

La réunion : outil de décision ou excuse pour ne pas assumer ?

Dans de nombreuses organisations, les réunions sont devenues un rituel incontournable, parfois dévoyées de leur objectif initial : la prise de décision efficace. Certains managers ont adopté une stratégie plus subtile en utilisant les réunions pour éviter de prendre des responsabilités directes. Ce comportement peut sembler anodin, mais il a des conséquences profondes sur la culture d’entreprise et la productivité globale.

L’IA est-elle la solution à la pénurie de talents ?

Dans un monde en perpétuelle évolution, la question de la pénurie de talents n’a jamais été aussi cruciale. Avec l’émergence de l’intelligence artificielle (IA), certains pourraient croire que cette problématique est appelée à disparaître. Pourtant, la réalité est bien plus nuancée. En dépit des avancées technologiques, la pénurie de talents demeure une préoccupation majeure pour les entreprises aujourd’hui, et le sera probablement encore demain. Examinons de plus près comment l’IA pourrait impacter cette dynamique complexe.

JOP : comment gérer le retour du TT à 100% ?

Comme toujours, au premier rang de tous les bouleversements on retrouve les managers. Ceux-ci, tels des acrobates, doivent réussir leur propre transition et en même temps accompagner leurs équipes dans ce nouveau modèle d’organisation du travail. Encore une fois, ils vont devoir s’adapter pendant cette période des JOP.

Biais cognitif n°3 : le biais de sunk cost

C’est le biais de l’aversion à la perte… Il concerne de nombreux entrepreneurs.

Ce biais cognitif de « sunk cost, » ou coût irrécupérable en français, fait référence à la tendance des individus à prendre des décisions basées sur les investissements passés (temps, argent, ressources) plutôt que sur les bénéfices futurs attendus. En d’autres termes, les personnes ont souvent du mal à abandonner un projet ou une décision, même s’ils se rendent compte que cela ne sera pas rentable à l’avenir, simplement parce qu’ils ont déjà investi beaucoup dans cette entreprise.

Biais cognitif N°2 : “On a toujours fait comme ça !”

Avez-vous déjà entendu cette petite phrase dans votre entreprise ?

Elle est typique des organisations (ou d’équipes) empêtrées dans un biais de Statu quo.

Le biais de statu quo est un concept en psychologie cognitive et en prise de décision qui se réfère à la tendance naturelle des individus à préférer le maintien de la situation actuelle plutôt que de prendre des mesures pour changer.

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